lundi 31 mai 2010

Union Jack

Indispensables, les stickers Union Jack prennent immédiatement place aux centres des jantes.



Voila, malgré sa ligne, plus personne ne prendra cette Scimitar pour une "Barchetta" italienne.

Des photos...







A la maison

Après 24 heures et presque 2000 km de route, la Reliant est à la maison posée sur le plateau. Le voyage retour s'est effectué sous le déluge. Vu l'état de la capote, je ne regrette pas de ne pas être remonté à son volant.
Premier contre temps, si l'engin est monté tout seul sur le plateau, impossible de le démarrer pour descendre. Ou plutôt si, elle démarre mais s'arrête après 3-4 secondes. Après plusieurs heures de tentatives infructueuses, elle rentre à la poussette, c'est décevant.
L'allumage est bon, l'essence arrive, la pression semble suffisante, maintenant la batterie est à plat.
En dernier recours le débitmètre est déposé. Le pot-aux-roses est découvert, la boite à air n'est pas étanche (il manque une patte de fermeture), l'eau de cette nuit est rentrée à plein, le débimetre mais aussi le turbo baignent dans l'eau...
Une fois tout rincé, le moteur repart !!! C'est parti pour un tour.

dimanche 30 mai 2010

En route...

Ca y est, nous partons (mon père m'accompagne) chercher la Scimitar.
Malgré l'entousiasme du vendeur, je renonce à parcourir les 900 km qui nous séparent de Cannes avec une voiture que je ne connais pas. J'ai donc loué un plateau pour le week-end.
La météo est pluvieuse.

lundi 22 mars 2010

Contrôle Technique

En y réfléchissant bien, le véhicule m'intéresse.
Le modèle aurait été importé par Automobiles Clément de Marseille. Pas d'autres informations, les spécialistes doutent même que des exemplaires aient été vendus en France.
Je m'enquiert donc des papiers auprès du vendeur, les cartes grises étant souvent fantaisistes pour les modèles importés en petite série.
Le vendeur me fait donc parvenir le Contrôle Technique passé récemment et avec succès.

Bonne nouvelle, les données administratives sont relativement bonnes.

La voiture est bien référencée comme une Reliant. Le n° de série apporte des informations concernant la couleur, le côté de conduite, et surtout le n° de chassis soit 1343. Voici donc l'une des dernières SS1 produites. Il reste la désignation commerciale et là, c'est le grand n'importe quoi avec un "SIMICAR" sorti de nulle part.

Pour le reste, le contrôle est curieusement pauvre pour un véhicule qui n'a pas roulé depuis près de dix ans. Quelques petits défauts sans importance ni conséquence. Ah oui, le ripage est trop important, nous y reviendrons plus tard. Nous reviendrons aussi sur ce contrôle... De toutes façons, je m'attend à des travaux de remise en route plus ou moins importants. Les freins arrières méritent aussi certainement une visite compte tenu du déséquilibre constaté.
Pour l'avant, les valeurs d'efficacité sont très basses, cependant le véhicule à la réputation d'être mauvais freineur.


mercredi 3 février 2010

Pemières images

Passée la première impression, je glanne des informations sur le modèle.
Peu banal : un chassis poutre en acier galvanisé, une carrosserie polyester, un rapport poids/puissance séduisant, une ligne signée Michelotti (!) et surtout une production homéopatique.
Contact pris, je reçois les premières images du vendeur. Voici donc Golden Scimitar.

lundi 1 février 2010

La découverte

Début 2010, voici quelques mois que je surveille les petites annonces à la recherche d'un roadster anglais ou d'un kit-car.


C'est mon père qui me communique l'annonce de la Scimitar.


Scimitar, je connais peu, j'ai déjà croisé quelques breaks de chasse à l'allure de Ford Capri, mais en roadster je ne vois pas.


Google est mon ami et en quelques instants ma curiosité est satisfaite...

Quelle horreur !!! Une ligne taillée à la serpe, des proportions typées années 70, des matériaux de années 80, j'ai rarement vu une voiture aussi moche.